Suite au village de l’eau, organisé par le collectif Bassines Non Merci, une lettre ouverte a été publiée associant dès son titre la lutte pour l’eau à un enjeu antimilitariste.
Elle n’évoque cependant à aucun moment une quelconque solidarité internationales avec les populations concernées par la guerre. Que ce soit littéralement, comme en Palestine où l’eau a été l’une des premières cibles voire arme (contre les tunnels). Ou plus symboliquement, comme dans tous les autres pays concernés par l’accaparement de l’eau…
Dans ce relais de lettre ouverte par un un organe de presse tiers par rapports aux militant⋅es, oui l 'oubli est fait et acté concernant la considération d’autrui.
Plus flagrant si autrui est racisé⋅e, donc invisibilisé⋅e, ce qui est 5 ou 6 fois le cas ici.
Avec @vello il me semble qu’une discussion soit possible.
Pour aider à cela, si cela vous/te convient, il est fait ici :
sans avoir été présent au VIllage de l’eau à Melle en juillet, je vous fait part d’un appel rédigé par les participants d’un autre atelier, qui évoque une vision politique commune où la solidarité est fondatrice…
Le tout évoqué :